5 entreprises intègrent French Tech Tremplin Incubation
Lancement de la 1ère promo Tremplin Incubation
Élisabeth Moreno, Nadia Hai et Cédric O ont annoncé le lancement de la phase “Incubation” du programme French Tech Tremplin, le 20 janvier 2021, à Paris.
Mardi 2 février dernier, French Tech in the Alps-Chambéry et l’Incubateur Savoie Technolac ont officiellement accueilli la 1ère promotion des 5 entreprises lauréates.
Ce sont 5 jeunes entreprises innovantes de l’agglomération Grand Chambéry qui vont intégrer ce nouveau programme.
Elles pourront bénéficier d’un an d’accompagnement au sein de l’Incubateur Savoie Technolac, d’une bourse de 30000€ destinée au développement de leur entreprise ainsi que d’opportunités de rencontres et d’échanges avec les acteurs de la French Tech in the Alps.
Dans cette nouvelle promotion chambérienne, 2 font déjà figures d’alumni : Optimergo et So Ride Wear, qui ont suivi le volet 1 “Prépa” du programme qui s’est achevé en août 2020 et leur a permis de passer de l’idée à la création d’une entreprise.
- 800 Candidatures nationales
- 40 Candidatures sur le sillon alpin
- 200 Lauréats en France
- 10 Lauréats sur le sillon alpin
Les 5 entreprises lauréates
- ECOPRISES — Benoît Jacquot-Bertrand, Sébastien Leprivey, Hugo Pheulpin — Création, fabrication et commercialisation d’équipements sportifs éco-conçues.
- HOOA — Noor Bahmed — Plateforme digitale dédiée à la valorisation des métiers d’art et artisans créateurs.
- USAGEO — Franck Bertuzzi — Plateforme d’objectivisation des données usagers à destination du développement de nouveaux produits.
- OPTIMERGO — Alexane Vidalie — La solution EMIL (ElectroMyographie à Interface Ludique) développée permet de gagner en réactivité grâce à sa portabilité et au biofeedback en temps réel.
- SO RIDE WEAR— Fabienne Petetin — Conception et fabrication de vêtements de sport et de nature, éco-responsable et en circuit-court.
l'ambition de French Tech Tremplin
Le programme French Tech Tremplin vise à aider des personnes issues de milieux défavorisés et sous-représentées dans l’écosystème tech français, à développer leur projet entrepreneurial. Pour être éligibles, les candidats doivent être bénéficiaires des minimas sociaux, boursiers de l’enseignement supérieur, réfugiés, ou encore résidents en quartier prioritaire de la ville (QPV).
“Seuls 30% des salariés du secteur sont des femmes et elles ne représentent que 12% des créateurs de start-up. Par ailleurs, plus de 50% des emplois du digital sont situés en Île-de-France et l’attrait pour les emplois dans la tech est 30% plus faible dans les quartiers prioritaires de la ville. Ces statistiques nous montrent l’ampleur du chemin qui reste à parcourir. L’enjeu de la transformation numérique est donc aussi un enjeu d’inclusion et d’égalité. J’ai l’intime conviction que ce sont les entreprises citoyennes qui, demain, seront les plus compétitives.”